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L’archipel d’Okavir abritait autrefois un peuple qui disposais d’un autre système de croyance. Puis, les Roden colonisèrent l’archipel et y instaurèrent le culte du dieu soleil qu’ils appellent aujourd’hui : « Soreiyu ». Leur manière d’honorer leur dieu est principalement d’observer une grande noblesse et surtout une grande discipline, symbole de droiture les élevant au plus près des cieux et de leur Dieu Soreiyu. Selon les Okaviri, l’art et la beauté s’ils sont emplis de cette même discipline et le fait qu’ils sont en harmonie avec le savoir-faire et les anciennes traditions, permettent également d’élever leur âme vers le dieu unique. Les arts martiaux et le code du guerrier Bushi sont également un moyen d’honorer leur Dieu, par la droiture, l’élégance et l’honneur au combat.

Les Okvairi, pris de passion pour l’ancien culte de l’archipel tentent de le comprendre mais peinent à déchiffrer les textes anciens si bien que toute la culture originale d’Okavir reste un grand mystère pour eux, tout comme l’ancienne religion. Religion faisant un rapprochement entre la lune et le soleil qui danseraient en équilibre, régnant sur le monde. Pour eux, Soreiyu est celui qui apporte la joie et le bonheur, mais, afin que les mortels reconnaissent le bonheur, il créa « Tsuki » (la Lune), qui apporte tristesse et malheur.

Ce que nous savons c’est que les textes et la religion parle d’énergie, d’esprits, pouvant parfois prendre forme et s’incarner tant tôt dans des créatures bénéfiques, et tantôt dans des démons ou « oni » comme on les appelle sur l’archipel. Les légendes racontent également des tas de choses sur les dragons, comme le fait qu’ils seraient issus d’esprits surpuissants et seraient capables de toutes sortes de miracles. Ils possèderaient entre autres le secret de la longévité et de l’immortalité. 

De plus, nous savons que certains groupes vouent un culte à la lune (« Tsuki ») et opèrent des rites secrets à sa gloire.

 

A savoir : 

 

  • Les okaviri ont plusieurs rites mortuaires. Soit ils mettent leurs morts dans des barques et de les enflamment au large à l’aide de flèches. Soit ils les entèrent et font un feu au-dessus de leur tombe. Les plus nobles d’entre eux ont le droit d’avoir un mémorial au-dessus de leur tombe, voir une pagode.

  • L’art doit respecter une série de critères bien distincts pour être considéré en tant que tel. Ainsi, toutes les œuvres présentent de grandes similitudes.

  • Pour les Okaviri, la responsabilité élève l’esprit. Les plus hauts gradés sont donc considérés comme plus proches du divin. Il en va de même pour le Shogun qui est considéré comme l’instrument et le messager du divin, à qui il faut donc obéir.

  • Lors d’un dilemme entre deux personnes, si personne ne se met d’accord, il convient de régler cela soit par un duel honorable. Chacun des deux partis signe un document et un contrat avec les enjeux et les règles du duel en question.

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