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Alors que les détachements de chaque faction du monde rencontraient le peuple des Kendari dans la forêt oubliée, ils furent témoins d’un évènement majeur, le réveil d’une divinité : la Lune, ou « Lunëa Matëa » comme l’appellent les Kendari.

C’est une druidesse du nom de Gleditsia qui en fût à l’origine. Selon mes sources, elle rassembla un cercle de femmes et elles invoquèrent cette ancienne puissance divine endormie et oubliée depuis bien longtemps.
Lunëa Matëa leur apparu alors sous la forme d’un cerf. Ces femmes reçurent la bénédiction de la Lune et Gleditsia devint la grande prêtresse de Lunëa Matëa.

Le culte lunaire est tourné autour de trois grand principe :
- L’Amour dans son sens non violent, le pardon et la sérénité.
- La transmission, le dialogue, l’apprentissage et la formation.
- La femme, sa protection,  la défense de ses droits et de son autonomie.

De ce fait, seules les femmes peuvent devenir prêtresses de la Lune.


Lors des différents rituels, les prêtresses font des offrandes végétales et pratiquent des danses sous la lumière de la Lune. Les rites sont adroitement calqués sur les différentes phases lunaires, qui auraient toutes leur symbolique et leurs effets particuliers.

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